Un film de Martin Bourboulon , avec Marina Foïs et Laurent Lafitte
C'est l'histoire d'un couple qui divorce. Pas très original comme sujet me direz-vous ! Mais attendez la suite....Au moment du divorce, Florence et Vincent s'entendent sur une garde alternée pour leurs trois enfants. Mais un petit détail, un petit rien du tout va mettre une belle pagaille : le même jour Vincent apprend qu'il a été accepté pour une mission humanitaire à Haïti et Florence pour une promotion au Danemark. Chacun veut partir, mais alors qui va garder les enfants ?? Une véritable "guerre des Rose", avec les enfants comme punching-ball, éclate. Et tous les coups sont permis ! Même le petit hamster va en prendre pour son grade. Mais rassurez-vous, il n'a subit aucun sévices pendant le tournage ;-)...et les enfants non plus ;-)
Cette comédie française très originale aborde le problème de la garde d'enfants lors des divorces. Mais si d'ordinaire, on assiste plutôt à des combats pour avoir la garde, là c'est tout le contraire ! Les enfants deviennent encombrants ! Comment devenir haïssable aux yeux de ces chers bambins pour qu'ils choisissent de vivre avec l'autre parent ? Est-ce que ce film va donner des idées aux couples en procédure de divorce ? J'entends ici des rhoooo que c'est pas bien ! C'est immoral et politiquement incorrect ! Ouaip, pas faux mais alors qu'est-ce qu'on rit....Et puis ça reste un film après tout. Quoique, ne serait-ce pas le moment d'avouer que parfois on aimerait ne pas avoir ses enfants dans les pattes pour avoir plus de libertés ! On les aime, certes, mais voilà quoi !!!! :-)) Alors papa or not papa ? maman or not maman ? moi je vote pour "papa ou maman" le film :-))
Un tutti frutti culturel : livres, films, CD, spectacles... des critiques mais toujours avec le sourire ! Soyons happy :-))
samedi 31 janvier 2015
mardi 27 janvier 2015
La petite fille qui avait avalé un nuage grand comme la Tour Eiffel de Romain Puertolas
Edition le Dilettante - parution en 2015
"Cette histoire est entièrement vraie puisque je l'ai inventée d'un bout à l'autre" (Boris Vian). Épitaphe du roman qui prend énormément de sens à la fin de l'histoire ;-))
Avec Romain Puertolas on est tout de suite plongé dans son univers loufoque, plein d'humour et de poésie. Après nous avoir entraîné à travers le monde avec son fakir et son armoire Ikéa, cette fois-ci, l'auteur nous envoie dans les airs entre Paris et le Maroc.
Providence est factrice (mais elle préfère qu'on dise facteur n'en déplaise à certains) sur le secteur d'Orly. Suite à un voyage au Maroc et à une appendicite, elle va tomber amoureuse d'une petite fille nommée Zahera, qui, elle aussi, a un corps étranger en elle : des nuages qui encombrent ses poumons, la mucoviscidose.
Providence adopte alors la petite fille orpheline. Mais en attendant que la procédure soit légalisée, elle doit retourner en France. Mais le grand jour arrive enfin ! Providence va pouvoir récupérer la petite fille dont l'état de santé devient préoccupant. Mais un volcan islandais avec un nom à dormir debout (dans une armoire Ikéa ;-) ) a décidé de redistribuer les cartes du Destin. Mais rien n'empêchera Providence d'atteindre son but même si pour cela elle doit apprendre à voler de ses propres ailes (euh, plutôt de ses propres bras). Providence devient Icare.
Ce roman est comme un conte des mille et une nuits. On y trouve une histoire magnifiquement écrite avec des passages plein de poésie et d'autres bien drôle. On dévore ce roman comme la petite fille avale ses gros nuages ! Il ne faut surtout pas vous arrêter sur le côté fantaisiste de l'histoire car il faut attendre les dernières pages pour comprendre tout le sens de ce récit.
Très très bon ! A lire ! Un premier coup de cœur littéraire pour ce début 2015 :-))
Extrait du roman (pour expliquer pourquoi on dit de Zahera qu'elle avale des nuages) :
"Avaler un nuage, c'était Providence qui avait trouvé cette expression pour parler de sa maladie, la mucoviscidose. C'était bien trouvé. Ce que la petite ressentait au fond des poumons, c'était un peu ça, une douleur vaporeuse et sournoise qui l'étouffait légèrement mais surement, comme si elle avait avalé, un jour, par inattention, un gros cumulonimbus et qu'il était resté, depuis, coincé en elle" [...]
"Cette histoire est entièrement vraie puisque je l'ai inventée d'un bout à l'autre" (Boris Vian). Épitaphe du roman qui prend énormément de sens à la fin de l'histoire ;-))
Avec Romain Puertolas on est tout de suite plongé dans son univers loufoque, plein d'humour et de poésie. Après nous avoir entraîné à travers le monde avec son fakir et son armoire Ikéa, cette fois-ci, l'auteur nous envoie dans les airs entre Paris et le Maroc.
Providence est factrice (mais elle préfère qu'on dise facteur n'en déplaise à certains) sur le secteur d'Orly. Suite à un voyage au Maroc et à une appendicite, elle va tomber amoureuse d'une petite fille nommée Zahera, qui, elle aussi, a un corps étranger en elle : des nuages qui encombrent ses poumons, la mucoviscidose.
Providence adopte alors la petite fille orpheline. Mais en attendant que la procédure soit légalisée, elle doit retourner en France. Mais le grand jour arrive enfin ! Providence va pouvoir récupérer la petite fille dont l'état de santé devient préoccupant. Mais un volcan islandais avec un nom à dormir debout (dans une armoire Ikéa ;-) ) a décidé de redistribuer les cartes du Destin. Mais rien n'empêchera Providence d'atteindre son but même si pour cela elle doit apprendre à voler de ses propres ailes (euh, plutôt de ses propres bras). Providence devient Icare.
Ce roman est comme un conte des mille et une nuits. On y trouve une histoire magnifiquement écrite avec des passages plein de poésie et d'autres bien drôle. On dévore ce roman comme la petite fille avale ses gros nuages ! Il ne faut surtout pas vous arrêter sur le côté fantaisiste de l'histoire car il faut attendre les dernières pages pour comprendre tout le sens de ce récit.
Très très bon ! A lire ! Un premier coup de cœur littéraire pour ce début 2015 :-))
Extrait du roman (pour expliquer pourquoi on dit de Zahera qu'elle avale des nuages) :
"Avaler un nuage, c'était Providence qui avait trouvé cette expression pour parler de sa maladie, la mucoviscidose. C'était bien trouvé. Ce que la petite ressentait au fond des poumons, c'était un peu ça, une douleur vaporeuse et sournoise qui l'étouffait légèrement mais surement, comme si elle avait avalé, un jour, par inattention, un gros cumulonimbus et qu'il était resté, depuis, coincé en elle" [...]
vendredi 9 janvier 2015
Young Bond : Shoot to Kill de Steve Cole
Chez Hachette - Parution en 2014
Allez un peu d'action aujourd'hui :-)) J'en lis pas souvent, mais je trouvais intéressante l'idée de raconter les aventures de James Bond ado.
Son nom est Bond, James Bond. Il n’a que 15 ans mais le danger lui colle déjà à la peau !
Allez un peu d'action aujourd'hui :-)) J'en lis pas souvent, mais je trouvais intéressante l'idée de raconter les aventures de James Bond ado.
Son nom est Bond, James Bond. Il n’a que 15 ans mais le danger lui colle déjà à la peau !
Envoyé dans une sorte de centre d’éducation à Londres, notre
héros va se retrouver en sortie scolaire avec certains de ses camarades à Los
Angeles ! On rêverait tous d’un voyage scolaire comme celui-là. Sauf que quand
on s’appelle James Bond, le voyage scolaire se transforme en véritable complot
où se mêle producteur de cinéma et mafia ! Et notre jeune héros va se retrouver
au milieu de cet imbroglio !
Car on peut vraiment parler d’imbroglio ! Comme dans
les films de James Bond, l’histoire est un peu (beaucoup) compliquée !
Films, mafia, service secret britannique, journaliste, émeutes à Chicago…sans
parler de ce centre d’éducation pas très clair avec des jeunes inscrits pas
très nets non plus. Bref, on s’y perd parfois un peu ! Un peu comme dans
les films….ou alors c’est moi qui suis vraiment blonde ! Mais heureusement, le dénouement nous donne toutes les ficelles pour comprendre toute l'histoire :-)) Donc obligé de finir le roman quand on l'a commencé ;-)) Ceci dit, comme on est tout de suite plongé dans l'action avec James Bond, on a qu'une envie c'est de connaître la fin....
J'ai aussi eu du mal à situer l'action dans le temps (décidément en ce début 2015, mes "atouts blonds" reviennent au galop ;-)). Par rapport à certains indices, j'ai situé l'aventure avant la seconde guerre mondiale...mais ce n'est pas clairement précisé dans le récit.
Sinon, pour ceux ou celle qui aime l’action, on est servi !
Et il y a même des jolies jeunes filles pour ne pas faire défaut au personnage
de James Bond qu’on connait si bien !
Un roman pour ados (mais aussi pour adultes) sympa pour les adeptes d’actions et d’espionnages.
S’ils ont déjà aimé Cherub de Muchamore, on peut facilement leur proposer ce
roman. D’autres aventures de Young Bond devraient être publiées ! Et
peut-être qu’après avoir lu Young Bond, on voudra se plonger dans la saga film
de James Bond ??
mercredi 7 janvier 2015
Une heure de tranquillité, le film
Mais qu’est ce Christian Clavier, alias Michel dans le film,
a fait au bon Dieu pour ne pas avoir une heure de tranquillité pour écouter son
album de jazz favori ? C’est comme cela qu’on pourrait résumer le film « une
heure de tranquillité » avec Christian Clavier et Carole Bouquet :-))
L'action se situe à 90% dans l'appartement de Michel et Nathalie. Alors que monsieur s’obstine à vouloir une heure de tranquillité afin d'écouter The album de jazz déniché chez un disquaire, sa femme, elle, cherche désespérément à lui parler de choses très importantes qui pourraient bien changer la vie de Michel....mais c'est sans compter sur les autres protagonistes de l'histoire : le plombier polonais-portugais, le voisin bien gentil, bien serviable mais peut-être un peu trop, leurs meilleurs amis (enfin presque)... qui vont mettre leur grain de sel pour transformer cette heure de tranquillité en véritable cauchemar !
Christian Clavier porte à bout de bras ce film huit-clos. Mais il est très bien entouré. Carole Bouquet en femme dépressive est formidable ainsi que les autres comédiens qui interviennent pour rendre cette journée insupportable ! La sauce prend bien :-))
Ce film tiré de la pièce de théâtre éponyme vous fera passer un moment agréable en ce début d'année :-))
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