mercredi 31 juillet 2019

J’ai dû rêver trop fort de Michel Bussi


Presses de la Cité - parution en 2019

J'ai dû rêver trop fort par BussiNous sommes en 2019, et nous faisons la rencontre de Nathalie, hôtesse de l’air, qui a tout pour être heureuse : un mari aimant, 2 filles en bonne santé, des petits-enfants pleins de vie et un métier qu’elle adore. Cependant Nathalie a une part d’ombre : depuis 20 ans elle cache à sa famille une histoire qu’elle a vécue en 1999. Mais son secret va la rattraper. Car en ce jour de 2019, Nathalie va avoir l’impression de revivre au jour le jour les mêmes évènements qu’en 1999.
On alterne donc entre les deux histoires. Celle de 2019, et celle de 1999. Deux histoires quasi parallèles. Et du coup j’ai trouvé long ces deux récits parallèles qui alternent. Je me suis demandée où l’auteur voulait en venir. Puis enfin, il y a quelque chose qui se passe. Un meurtre en 2019, qui « casse » le parallélisme avec les évènements de 1999. Ce drame qui va faire prendre conscience à Nathalie que quelqu’un la manipule surement pour lui faire revivre les évènements de 1999 à son insu. Qui cherche à la nuire ? et pourquoi ?
Je trouve que le roman ne démarre vraiment qu’à ce moment-là, mais alors il me semble qu'on on a déjà dépassé la moitié du roman ! Donc c'est long, c'est très long. Je pensais même qu'il n'y aurait pas de meurtres et qu'au final Michel Bussi nous racontait une romance à la Guillaume Musso ou à la Marc Levy. Ce n'est pas péjoratif car j'aime ces deux auteurs, mais ça ne ressemble pas à Michel Bussi. On est loin du "temps est assassin", le dernier Bussi que j'ai vraiment dévoré.

Du coup je ne sais pas trop quoi penser du dernier roman de Michel Bussi. Je reste plutôt dubitative. Une lecture mitigée bien que j’ai tout de même été surprise par le dénouement. J’ai été au bout du roman car il y a quand même du suspens...mais on va dire que ça ne m'a pas fait l'effet "Whaou" ! Dommage :-( 

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