Éditions Prisma - parution en 2017
Dans ce roman on suit les
péripéties d’Hanna, divorcée et obligée de revenir vivre chez sa mère en Irlande
avec sa fille Jazz. Bibliothécaire, elle retrouve un emploi dans la petite
ville de Lissbeg, et elle vadrouille en bibliobus dans les petits villages aux
alentours pour apporter la culture dans ses contrées lointaines.
Mais la bibliothèque est menacée de fermeture ! Hanna ne compte pas se laisser faire, d’autant plus qu’elle a un prêt sur le dos pour la rénovation d’une vieille bâtisse héritée de sa grand-tante.
Mais la bibliothèque est menacée de fermeture ! Hanna ne compte pas se laisser faire, d’autant plus qu’elle a un prêt sur le dos pour la rénovation d’une vieille bâtisse héritée de sa grand-tante.
Le roman m’attirait dès le
départ. Sa couverture estivale, le titre, les petites critiques en 4ème
de couverture qui annonce ce roman comme une pépite à égale de "la Petite
Boulangerie du bout du monde". Du coup je me suis laissé tenter en pensant
passer un bon moment ! Eh bah que nenni ! J’ai été très déçue !
J’ai trouvé que c’était très long à se mettre en place. Hanna apprend l’hypothèse
de la fermeture de la bibliothèque au ¾ du livre ! C’est très narratif et
je ne suis pas arrivée à m’attacher aux personnages. D’ailleurs je ne trouve
pas Hanna très sympathique. Certes elle a eu des déboires amoureux qui lui ont
fait beaucoup de mal, mais professionnellement parlant c’est tout ce que je n’aime
pas dans la profession de bibliothécaire. Psychorigide, à appliquer le règlement
à la lettre au-delà du bon sens du service public, à prendre un peu de haut les
personnes culturellement moins élevées qu’elle. Bref, elle ne met pas à l’honneur
le métier. Son attitude professionnelle ne reflète pas du tout le titre du
roman « La petite bibliothèque du bonheur »
Du coup ce roman ne m’a pas
évadé, j’ai été au bout tout de même, curieuse de connaitre le fin mot de toute
l’histoire, mais ce n’est pas du tout un coup de cœur… :-(
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